PA 1001-2 MP
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Quatre vents...
D'être mimée au parvis, la prière n'en congédie pas moins l'ombre, avec pour bénéfice, ces enfantines transfigurées.
Max Pinchard, ici encore, fait objection à l'insignifiance, par sa stature, il emplit de lumière les formes anciennes en leur restituant la jeunesse d'âme. Avec son oeil de malice, sa danse tombe toujours des nues, et y retourne ascensionnelle.
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Aux quatre vents
Quatre vents...
D'être mimée au parvis, la prière n'en congédie pas moins l'ombre, avec pour bénéfice, ces enfantines transfigurées.
Max Pinchard, ici encore, fait objection à l'insignifiance, par sa stature, il emplit de lumière les formes anciennes en leur restituant la jeunesse d'âme. Avec son oeil de malice, sa danse tombe toujours des nues, et y retourne ascensionnelle.
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Quatre vents...
D'être mimée au parvis, la prière n'en congédie pas moins l'ombre, avec pour bénéfice, ces enfantines transfigurées.
Max Pinchard, ici encore, fait objection à l'insignifiance, par sa stature, il emplit de lumière les formes anciennes en leur restituant la jeunesse d'âme. Avec son oeil de malice, sa danse tombe toujours des nues, et y retourne ascensionnelle. Elle dialogue avec les deux éternités, circulaire, elle s'échappe en volute entrainant en course folle, le vent et l'écho se tenant pas la main. La danse est ce pont de cordes vibrantes, tendu sur la brèche où hésite la marée ; c'est d'être ces bords de joie qu'elle dit la limite et l'excès. Réapprenons la leçon qu'ici Max Pinchard nous transmet encore : le vent de l'orgue s'il nous fait danser, c'est afin que le corps n'oublie pas que la parole y dort d'un souffle humanisant.
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