Catalogue
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« La Fontaine Castalie » de Max Pinchard a été la première partition éditée par Le Plac’Art en 2009. À l’époque, c’était avant tout un prétexte à travailler et échanger avec Max sur sa musique dans la foulée de ses 80 ans. Puis il nous a confié plusieurs opus de son catalogue et d’autres compositeurs lui ont emboité le pas, souvent plus jeunes...
« La Fontaine Castalie » de Max Pinchard a été la première partition éditée par Le Plac’Art en 2009. À l’époque, c’était avant tout un prétexte à travailler et échanger avec Max sur sa musique dans la foulée de ses 80 ans. Puis il nous a confié plusieurs opus de son catalogue et d’autres compositeurs lui ont emboité le pas, souvent plus jeunes, toujours aussi inspirés et avant tout confiants en l’aventure que nous leur proposions de partager ensemble !
Aujourd’hui, leur musique voyage et fait des heureux tant de leur côté que de celui de ceux qui la découvrent ou la font partager. Dans ce sens, nous mettons une attention particulière à développer un catalogue de pièces pédagogiques de choix, introduction au langage et au monde de chaque compositeur.
Toutes nos oeuvres musicales sont éditées en format A4 sur du papier 120g.
Ces trois études sont adressées aux étudiants de niveau moyen ou avancé. Elles ne contiennent pas de figurations rythmiques difficiles ou de changements de temps complexes et pas non plus de passages techniques sur l’accordéon particulièrement difficiles ; cette simplification permet de se concentrer sur le vrai but des études
Ces trois études sont adressées aux étudiants de niveau moyen ou avancé. Elles ne contiennent pas de figurations rythmiques difficiles ou de changements de temps complexes et pas non plus de passages techniques sur l’accordéon particulièrement difficiles ; cette simplification permet de se concentrer sur le vrai but des études
Ces trois études sont adressées aux étudiants de niveau moyen ou avancé. Elles ne contiennent pas de figurations rythmiques difficiles ou de changements de temps complexes et pas non plus de passages techniques sur l’accordéon particulièrement difficiles ; cette simplification permet de se concentrer sur le vrai but des études
Il est des instants, furtifs, où le temps semble se dérouler malgré l'interprète, sans pulse, sans battement de coeur, à la verticale presque, plutôt que de manière linéaire. L'apesanteur semble envelopper chaque doigt avant que l'alchimie de la note ne transforme les longueurs de cordes.
Libéré des règles formelles par la fantaisie, le discours s'alimente au vif de la motilité harmonique: feu de caprice de la pensée nomade, mais feu de tête comme ce qui arrive à ce qui fait bouclier lors de la pénétration irréversible dans l'atmosphère du son.
L'énigme demeure, elle a comme sceau son titre, clé étrange et aussi étrangement familière. Formule magique ou enchantement de la formule, l'autre et l'un, l'un ou l'autre, peu importe...
Entrez par la marche de l'unisson, marche brève, décadensé. D'un chorus perdu, l'échose fait essence : en son partage, par son détroit, s'initie une voix solitaire dans l'espacedéplié.
Palimpseste A l'affleure de la poussée bordée de pulsation, le rag-time ne démérite pas. D'abord était le brouillon d'univers ; rage-temps : Issu d'un grondement, bruit et fureur, déchiré d'avant-mot. Hors-le-temps, hors-la-langue.